Projection du film "Gilets Jaunes une répression d’Etat" suivie d’une discussion
Grenoble, Antigone
22, rue des violettes
Projection du film "Gilets Jaunes une répression d’Etat" suivie d’une discussion
Grenoble, Antigone
22, rue des violettes
Avec la "Tambouille", repas et stands en journée, concerts le soir
St Martin d’Hères, Campus
Table ronde autour de l’anti-répression suivie d’un repas.
Grenoble, le 38 Centre social autogéré
38, rue d’Alembert
Comparution des inculpé·es du 1er mai à Grenoble :
Grenoble, devant le tribunal
place Firmin Gautier
débat/apéro
Grenoble, local de Solidaires
3 rue Federico Garcia Lorca
Tram A, arrêt MC2
Nous manifestant·es, associations, syndicats et autres citoyen·nes sommes mobilisé·es depuis janvier 2019 sur la loi anti-casseurs qui se préparait, venant restreindre encore les droits et libertés. Loi après loi, le dispositif sécuritaire multiplie les exceptions au principe de séparation des pouvoirs et à la garantie des droits et libertés fondamentaux. Si des violences ont été commises par des manifestants contre des biens, des institutions ou des personnes, en aucun cas elles ne justifient que l’exécutif s’arroge des pouvoirs exorbitants et des méthodes de répression disproportionnées.
Plus de 5000 arrestations, plus de 1000 blessé·es, des dizaines de mutilations, 2 comas, 1 décès, depuis un an les luttes des Gilets Jaunes, des étudiant·es et des lycéen·nes ont battus des records de garde à vue, de personnes déférées en justice, des milliers de grenades et de balles "de défense" tirées sur les manifestant·es.
Le 1er Mai à Grenoble a été marqué par un niveau de répression élevé : alors qu’une petite centaines de personnes manifestait pacifiquement à la suite de la manifestation inter-syndicale, les forces de l’ordre sont intervenues pour interpeller et placer en garde à vue 7 personnes (dont 2 sont passées en comparution immédiate). Une huitième personne a également été placée en garde à vue dans les jours qui ont suivi. Une dame sera également blessée après un violent coup de matraque porté à la tête, puis prise en charge par les pompiers.
Ce même jour, les forces de l’ordre ont chargé dans le passage du Jardin de Ville et les tirs de gaz lacrymogène ont atterri dans le parc où se trouvait des dizaines d’enfants, des personnes âgées, des promeneurs ainsi qu’un ensemble d’associations et de syndicats.
Les manifestant·es interpellé·es comparaîtront devant la justice le 16 septembre 2019.
Nous souhaitons soutenir toutes les victimes du régime Macron, les mutilé·es, les éborgné·es, les noyé·es, les gardé·es à vue, pour la liberté de manifester et la liberté d’expression,
Nous vous invitons à nous rejoindre :
Si vous êtes victime ou témoin de la répression,
si vous souhaitez soutenir ou vous tenir informé de nos projets :
Le Collectif CAR 38
(ULC, UNL, 38, ANTIGONE, NPA, SOLIDAIRE, CNT, CIIP, LDH, JC et des gilets jaunes)
Grenoble, Maison de l’International
Grenoble, Maison de l’International
Grenoble, Maison de l’International
Grenoble, rdv devant la Préfecture
Grenoble, Maison de l’International